A lire avé l’assent du midi!
Samedi 2 juillet, tout le monde attendait les retardataires sur le pont du Galetas tout en galégeant. Quelle joie de pouvoir admirer à cette heure l’élégante l'arrivée du Verdon dans son lac….Et sans aucun promène-couillon !!! Thierry en a profité pour nous ramener une brindille bien sèche, nous nous sommes dit qu’il voulait faire des grillades le soir et qu’il préparait le petit bois! Eh bé non, c’était le cerfeuil noueux qui, parait-il est très rare et protégé! Dommage, le cerfeuil ç’aurait été pas mal dans la grillade!…
Nous voici alors partis à travers les lavandes chercher le départ de la draille à Vénascle ,nous avions pour ambition de faire une virade au Mont Pavillon.
Dès les premiers raspaiouns (raidillons), nous autres caminaïres prîmes la mesure du massacre de la pinède par les chenilles processionnaires (Thaumetopoea pityocampa), pas un arbre n’était épargné…
Vous connaissez le rythme de nos débuts de virades, tous les cent mètres, Thierry fait la pause pour observer un bout d’herbe, il a trop peur que nous nous esgagassions !!! Nous avons ainsi observé à quatre pattes sur la draille les capitules bleus de la cardoncelle de Montpellier, appris à reconnaître le plantago arenaria et la carline à feuilles d’acanthes tout en évitant de piétiner la petite coronille et l’épipactis atro rubens… Ah j’oubliais la cupidone catananche, la germandrée polium, le chardon noirâtre et bien d’autres…
Samedi 2 juillet, tout le monde attendait les retardataires sur le pont du Galetas tout en galégeant. Quelle joie de pouvoir admirer à cette heure l’élégante l'arrivée du Verdon dans son lac….Et sans aucun promène-couillon !!! Thierry en a profité pour nous ramener une brindille bien sèche, nous nous sommes dit qu’il voulait faire des grillades le soir et qu’il préparait le petit bois! Eh bé non, c’était le cerfeuil noueux qui, parait-il est très rare et protégé! Dommage, le cerfeuil ç’aurait été pas mal dans la grillade!…
Nous voici alors partis à travers les lavandes chercher le départ de la draille à Vénascle ,nous avions pour ambition de faire une virade au Mont Pavillon.
Dès les premiers raspaiouns (raidillons), nous autres caminaïres prîmes la mesure du massacre de la pinède par les chenilles processionnaires (Thaumetopoea pityocampa), pas un arbre n’était épargné…
Vous connaissez le rythme de nos débuts de virades, tous les cent mètres, Thierry fait la pause pour observer un bout d’herbe, il a trop peur que nous nous esgagassions !!! Nous avons ainsi observé à quatre pattes sur la draille les capitules bleus de la cardoncelle de Montpellier, appris à reconnaître le plantago arenaria et la carline à feuilles d’acanthes tout en évitant de piétiner la petite coronille et l’épipactis atro rubens… Ah j’oubliais la cupidone catananche, la germandrée polium, le chardon noirâtre et bien d’autres…