Vers Capo di Muro : aujourd’hui encore une balade de bord de mer, terminée par la visite d’une deuxième tour gênoise.
J’ai la même fleur rose que celle du Ciste blanc que vous connaissez, mais je diffère de lui par ma feuille, qui ressemble à celle du Ciste à feuille de sauge, que vous connaissez aussi. Un bon mélange des deux… en plus je m’appelle Ciste de Crète et je vis en Corse !
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Je suis un buisson spécifique de la Corse, en ce moment tout en fleurs. Reconnaissable à ma tige carrée et à ma fleur de Lamier, je suis le Grand Prasium. |
Magnifique avec mes grandes fleurs blanches, je suis répandu en Corse et caractéristique de l’île. J’appartiens à la famille de l’Amaryllis, je me nomme le Pancrace d’Illyrie.
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J’existe bien sur le continent, mais jamais sur pied comme vous me voyez ici. Je suis un véritable arbre : il y a en Corse des forêts entières de Genévriers de Phénicie !
Vous pouvez me rencontrer sur le continent, mais seulement dans une station de l’Estérel. On m’utilise en herboristerie. Je suis l’Immortelle d’Italie, j’ai aussi le joli nom d’Hélichryse.
Vous pouvez me rencontrer sur le continent, mais seulement dans une station de l’Estérel. On m’utilise en herboristerie. Je suis l’Immortelle d’Italie, j’ai aussi le joli nom d’Hélichryse.
Imaginez un tapis de Vipérines de Crète, d’Asphodèles faux-cerisier et de Cyclamens... et des sentiers bordés de buissons de Cistes à feuilles de sauge en pleine floraison.
J et H
Ellen
Mercredi 6 avril 2016. Capo di Muro
. Mais où nous emmène-t-on ? Nous suivons le groupe dans un dédale de petites routes en direction de l’ouest. Au bout du chemin, en direction du Capo di Muro, nous laissons les voitures et nous dirigeons vers le Cap lui-même. La végétation , très dense, est la même que celle rencontrée Lundi. Nous quittons la route et nous descendons vers la mer par un un sentier bordé d’une admirable muraille de pierres. Arrivés sur le rivage, la progression est malaisée sur le sentier côtier accidenté, mais le spectacle est si beau que nous ne sentons pas la fatigue. Bientôt, nous découvrons une construction qui semble être une ancienne station d’épuration (abandonnée actuellement). Un apontement sommaire permettait d’y accéder par voie maritime . C’est l’heure du Pique-nique, mais aussi , semblent penser certaines et certains d’entre nous …de…la baignade. « L’onde était transparente ainsi qu’au plus beaux jours, ma commère la sole y faisait mille tours avec le mulet son compère... » plouf ! sous les applaudissements des autres Cadiens, plus réservés ! Aux serviettes de bains succèdent les serviettes table et un PNTC conséquent qui réconforte tout le monde.. Et puis, un peu plus loin, une sorte de miracle ! : une prairie humide accueille une colonie de romulées (Romuléa Columna semble-t-il) aux 6 pétales blanc et lilas et au longues feuilles filiformes.Au dessus de nous, perchée sur un sommet acéré, une petite chapelle tend son clocher pointu vers le ciel d’azur.
L’après midi, il faut remonter jusqu’en haut du cap, pour nous diriger vers le Nord vers l’ « Anse de Cacao » ( !) Cette anse est dominée par l’une des innombrables tours gênoises érigées autour de l’île. Elle est ouverte et nous pouvons la visiter. Un escalier extérieur donne accès à la salle unique de la tour dotée d’une cheminée. Un petit escalier intérieur nous conduit sur la terrasse d’où l’on a une belle vue sur l’anse du Nesquick…euh pardon, sur l’anse du Cacao (c’est son nom !). En bas, minuscule, mouille un petit sloop blanc. Les Cadiens sont joueurs, les Cadiennes encore plus puisque c’est l’une d’elles qui a l’initiative d’un jeu du genre « 4 coins ». Tous les créneaux sont donc tour à tour occupés ! Mais il faut penser au retour au gîte et, après une belle journée bien remplie, regagner « U Fraccintu »
JCL
. Mais où nous emmène-t-on ? Nous suivons le groupe dans un dédale de petites routes en direction de l’ouest. Au bout du chemin, en direction du Capo di Muro, nous laissons les voitures et nous dirigeons vers le Cap lui-même. La végétation , très dense, est la même que celle rencontrée Lundi. Nous quittons la route et nous descendons vers la mer par un un sentier bordé d’une admirable muraille de pierres. Arrivés sur le rivage, la progression est malaisée sur le sentier côtier accidenté, mais le spectacle est si beau que nous ne sentons pas la fatigue. Bientôt, nous découvrons une construction qui semble être une ancienne station d’épuration (abandonnée actuellement). Un apontement sommaire permettait d’y accéder par voie maritime . C’est l’heure du Pique-nique, mais aussi , semblent penser certaines et certains d’entre nous …de…la baignade. « L’onde était transparente ainsi qu’au plus beaux jours, ma commère la sole y faisait mille tours avec le mulet son compère... » plouf ! sous les applaudissements des autres Cadiens, plus réservés ! Aux serviettes de bains succèdent les serviettes table et un PNTC conséquent qui réconforte tout le monde.. Et puis, un peu plus loin, une sorte de miracle ! : une prairie humide accueille une colonie de romulées (Romuléa Columna semble-t-il) aux 6 pétales blanc et lilas et au longues feuilles filiformes.Au dessus de nous, perchée sur un sommet acéré, une petite chapelle tend son clocher pointu vers le ciel d’azur.
L’après midi, il faut remonter jusqu’en haut du cap, pour nous diriger vers le Nord vers l’ « Anse de Cacao » ( !) Cette anse est dominée par l’une des innombrables tours gênoises érigées autour de l’île. Elle est ouverte et nous pouvons la visiter. Un escalier extérieur donne accès à la salle unique de la tour dotée d’une cheminée. Un petit escalier intérieur nous conduit sur la terrasse d’où l’on a une belle vue sur l’anse du Nesquick…euh pardon, sur l’anse du Cacao (c’est son nom !). En bas, minuscule, mouille un petit sloop blanc. Les Cadiens sont joueurs, les Cadiennes encore plus puisque c’est l’une d’elles qui a l’initiative d’un jeu du genre « 4 coins ». Tous les créneaux sont donc tour à tour occupés ! Mais il faut penser au retour au gîte et, après une belle journée bien remplie, regagner « U Fraccintu »
JCL