Mardi 10 juillet 2018
Nous sommes aujourd’hui vers les lacs d’Orcières où nous montons en téléphérique (merci au CADE pour la prise en charge). Le temps est menaçant, mais nous échapperons à l’orage.
C’est ici le domaine des espèces de haute altitude (2650 m), adaptées à un enneigement long et fort (espèces chionophiles), qui s’organisent pour vivre dans les éboulis (stolons), comme la Benoîte rampante et lutter contre le froid (poils, duvet), comme la Bérardie laineuse.
Trois plantes protégées : la Minuartie de Clément (PACA) la Primevère du Piémont (plan national) et la Bérardie laineuse (plan national).
Après le pique-nique près du lac des Estaris, les plus courageux feront la longue descente vers Prapic, les autres descendront par la piste, ou en botanisant par le lac des Sirènes ou le lac de Jujal.
Le soir, demi-finale France-Croatie !
Nous sommes aujourd’hui vers les lacs d’Orcières où nous montons en téléphérique (merci au CADE pour la prise en charge). Le temps est menaçant, mais nous échapperons à l’orage.
C’est ici le domaine des espèces de haute altitude (2650 m), adaptées à un enneigement long et fort (espèces chionophiles), qui s’organisent pour vivre dans les éboulis (stolons), comme la Benoîte rampante et lutter contre le froid (poils, duvet), comme la Bérardie laineuse.
Trois plantes protégées : la Minuartie de Clément (PACA) la Primevère du Piémont (plan national) et la Bérardie laineuse (plan national).
Après le pique-nique près du lac des Estaris, les plus courageux feront la longue descente vers Prapic, les autres descendront par la piste, ou en botanisant par le lac des Sirènes ou le lac de Jujal.
Le soir, demi-finale France-Croatie !